IV E.I S.A. 7758 Bordeaux le 2 novembre 1943
- VIII –
(transcription de documents officiels)
1 – REMARQUE
Il n’y avait pas de preuves contre Reiller et Feutry qu’ils avaient mis à la disposition de Moniot leurs demeures pour des émissions
ennemies.
Favrichon devait rectifier ses déclarations lors de la confrontation avec les deux accusés.
Moniot, il est vrai, a nommé d’après les indications de Favrichon les deux demeures de Reiller et de Feutry à Favrichon et Victor,
(radiotélégraphiste); cependant Favrichon ne peut pas indiquer si vraiment des messages ennemis ont été transmis dans les dites
demeures.
Victor et Moniot sont enfuite et par conséquent ne peuvent pas être entendus à ce sujet.
Du reste Victor n’est apparemment jamais allé dans les demeures de Railler et de Feutry. Les indications du dernier cité paraissent
authentiques de façon qu’il y a lieu de les relaxer.
- 2 – Reiller et Feutry doivent être relaxés.
- 3 – pour prendre connaissance et pour décision au chef IV ?
- 4 – W.V (Weitresveranlasser ?) faire le message tout de suite.
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